Nicolas Sarkozy, la dignité d'un capitaine
Science following its modern acceptance, which effectively excludes any notion of dogma, is based on the reproducibility of its assertions. Everyone has been able during their studies to carry out experiments in physics or chemistry to observe facts, draw rules in conclusion and apply them in a predictive way to future facts not yet realized.
In chemistry, the Ph test is the application of colored reagents that determine in advance whether a solution is acidic or basic.
In physics, by dropping masses on an inclined plane, it is quite possible to predict the acceleration and the position over time by applying the theorems of kinetic energy resulting from experience, the same for the ballistic calculations used for the rockets.
In medicine, the subject becomes a little more complicated given the greater number of parameters which vary from one individual to another, and the statistical tool will help to analyze the reproducibility of phenomena. Double-blind studies versus placebo are able to measure the effectiveness of a treatment and all the success of anti-cancer drugs or the treatment of AIDS is based on this approach. This also demonstrates the total lack of scientific basis for homeopathy, which effectiveness has never been proven.
The only difference between a doctor and a charlatan is precisely this ability to produce and reproduce results, a healer would be entirely justified in claiming medical capacity as soon as he produced a statistical study proving his capacity. Universities have also tried to do so, but this has always backfired on the so-called carriers of supernatural gifts.
History compiles past facts. An analysis makes it possible to identify the various events, the actors, the situations, the mass movements and the logic to determine the sequences having led to a new situation. As CV Wegdwood summed it up very well, history is written backwards and the historian already knows the end, unlike the actors in history who are unaware of it when they act.
This is the main difference with the news, which reports current events without being able to determine the outcome with any certainty, just because of the lack of exhaustiveness of the information available. Then, and this is where history demonstrates that it is not a science, past and present situations that are similar in appearance are characterized more by differences. As a corollary of this discrepancy, the historian then has no rule that has demonstrated its relevance to be reapplied in a systematic way to predict the sequence of events. This emptyness will only produce conjectures.
This space open to the future is therefore the domain of politics which can propose solutions, and which is the object of intense activity on the part of actors who have little connection with the study of story.
A historian cannot get involved by virtue of his knowledge in political life or any current event because no more than any other observer can he master all the different elements as he could do for a historical study, which would also require a duration of study incompatible with the immediacy of the news, and finally because there are no pre-established patterns defining historical sequence of events and no more scientific proof of any reproducibility.
The
future therefore remains the fact of individuals, the opinion they
have, and the means of imposing it, whether by membership or by force.
La science suivant son acceptation moderne , qui exclut de fait toute notion de dogme, se base sur la reproductibilité de ses affirmations. Tout le monde a pu durant ses études faire des expériences en physique ou en chimie pour constater des faits, en tirer des règles en conclusion et les appliquer de façon prédictive à des faits à venir non encore réalisés.
En chimie le test de Ph est l'application de réactifs colorés qui permettent de déterminer à l'avance si une solution est acide ou basique.
En physique en lâchant des masses sur un plan incliné il est tout à fait possible de prédire l'accélération et la position dans le temps en appliquant les théorèmes de l'énergie cinétiques issus de l'expérience, idem pour les calculs balistiques utilisés pour les fusées.
En médecine, le sujet devient un peu plus compliqué compte tenu du nombre plus important de paramètres qui varie d'un individu à l'autre, et l'outil statistique va venir aider à analyser la reproductibilité des phénomènes. Les études en double aveugle versus placebo sont capables de mesurer l'efficacité d'un traitement et tout le succès des anticancéreux ou du traitement du SiDA repose sur cette approche. Cela démontre aussi l'absence totale de base scientifique à l'homéopathie, dont l'efficacité n'a jamais été prouvée.
La seule différence entre un médecin et un charlatan est justement cette capacité à produire et reproduire des résultats, un guérisseur serait tout à fait fondé à revendiquer une capacité médicale dès lors qu'il produirait une étude statistique prouvant sa capacité. Des universités ont d'ailleurs tenté de le faire mais cela s'est toujours retourné contre les soit disant porteurs de dons surnaturels.
L'histoire compile des faits passés. Une analyse permet d'identifier les différents événements , les acteurs, les situations, les mouvements de masse et la logique de déterminer les enchaînements ayant abouti a une situation nouvelle. Comme l'a très bien résumé CV Wegdwood, l'histoire s'écrit à rebours et l'historien connaît déjà la fin contrairement aux acteurs de l'histoire qui l'ignorent au moment où ils agissent.
C'est là la différence principale avec l'actualité qui reporte des événements en cours sans pouvoir de façon certaine en déterminer l'issue, ne serait-ce que par manque d'exhaustivité des informations disponibles. Ensuite et c'est là où l'histoire démontre qu'elle n'est pas une science, des situations passées et présentes similaires en apparence, se caractérisent plus par les différences. Corollaire de cet écart, l'historien ne dispose ensuite d'aucune règle ayant démontré sa pertinence à être réappliquée de façon systématique pour prévoir la suite des événements. Ce vide ne va produire que des conjectures.
Cet espace ouvert sur le futur est donc le domaine du politique qui peut proposer des solutions, et qui est l'objet d'une activité intense de la part d'acteurs qui n’ont que peu de rapport avec l'étude de l'histoire.
Un historien ne peut pas s'impliquer au titre de ses connaissances dans la vie politique ou n'importe quel événement de l'actualité parce que pas plus qu'un autre observateur il ne peut maîtriser l'ensemble des différents éléments comme il pourrait le faire pour une étude historique, qui demanderait également une durée d'étude incompatible avec l'immédiateté de l'actualité, et enfin parce qu'il n'existe aucun schémas préétablis d’enchaînement historique des faits et pas plus de preuve scientifique d'une reproductibilité quelconque.
Le futur reste donc le fait des individus, de l'opinion qu'ils ont, et des moyens de l'imposer, que ce soit par l'adhésion ou par la force
Un historien qui prendrait une position par rapport à des faits d'actualités ne peut le faire que concernant son opinion strictement personnelle. Pas plus que quiconque il ne dispose d'aucune autorité scientifique pour pouvoir le faire, et agit donc dans le champ politique, d'un point de vue strictement partisan uniquement.
Elle est revenue sur son cheval de bataille dans l'Express voici quasi un an à la suite de l'assassinat monstrueux de Samuel Paty, et c'était ô combien nécessaire, contre ceux qu'elle nomme "les lanceurs d'amalgames".
A ceux qui demandent de ne plus dessiner et enseigner l'histoire des caricatures , elle questionne : faut-il cesser d'être Juifs, femmes, gay ou laïques pour avoir la paix ?
Elle accuse la délation de qui est "islamophobe", devenu la rouelle désignant sa victime au djihadiste. Et dénonce les associations qui entretiennet le trouble se faisant passer pour des martyrs quand l'Etat réagit, rappelant la capacité de l'état de dissoudre les ligues incitant à la haine de la République comme il a étét utilisé contre des communautaristes de natifs ou autochtones Français (1).
Les deux revendiquant exactement le même communautarisme, ces derniers contrairement à ce qu'elle pense ne sont pas moins malin que le CCiF, mais ne jouissent simplement pas de la même image auprès des médias de gauche et pas que, qui tout comme C. Fourest ne rangent pas à l'extrême droite les islamistes.
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Elle termine par dénoncer la passivité criminelle dans l'affaire Mila en réfutant la lâcheté ambiante et dans une position extrèmement forte assimile cette passivité à de la collaboration.
Elle ressort le même sujet des deux "chercheurs" qui a part leur propre avis n'ont pas trouvé grand chose , de lister des "travaux" corroborant cela, et de brandir en preuve ultime qu'elle affirme lumineuse, la médiocre dépêche AFP démontée dans mon précédent article.
Notes
(1) J'utilise ce terme de natif ou autochtone sans aucune connotation, comme il le serait s'agissant de populations non Européennes par exemple en Amérique ou en Afrique. Ceci venant également en contrepoint de la classification d'"extrème droite" dont je clarifierai les contours dans un autre article.
La télévision est une source discutable s'agissant des connaissances géographique (qui n'a pas vu une carte fausse ou entendu sa ville faussement attribuée à un département plus ou moins éloigné ?) notamment des points cardinaux quasi sytématiquement décrits depuis Paris.
Or Paris est situé au Nord du pays, et quand un journaliste parle de l'Est de la France, il parle sutout de l'Est de Paris et pointe en fait le Nord-Est de la France.
Si Nancy (6°10E) est par exemple bien situé à l'est de Paris, elle est aussi au Nord (48°41N), mais pas plus à l'Est que Chamonix (6°52E) qui est centrale sur l'axe Nord Sud (45°55N) mais que vous n'entendrez jamais citer comme étant à l'Est.
Et Nancy est beaucoup moins à l'Est que Nice (7°15E) certes point extème au Sud-Est (43°42N), à peu près au même niveau au Sud que l'extrême Sud-Ouest de Handaye (43°21N) mais plus au Nord que Cerbère (42°26N) qui est un extrème Sud de la France continentale, quasi au même niveau que Corte (42°18N) au centre de la Corse mais dépassé au Sud par Bonifaccio (41°23N).
L'hexagone est vaste mais très régulier et inscrit de façon assez parfaite sur les méridens et parallèles.
Ainsi l'axe Menton-Hendaye d'est en Ouest coincide de façon quasi parfaite autour de 43°30N a une dizaine de kilomètre près. Les méridiens partant de ces villes situés respectivement 7°20E et 1°40W suivent la frontière Est, et la côte Ouest à l'exception il est vrai de la péninsule bretonne et le l'Ile de Beauté, dans un espace qui fait exactement 9° d'arc et incrit la France.
Cela donne un méridien à 2°50E coupant en vertical la France en deux, et disant ce qui est à l'est et ce qui est à l'Ouest, il passe très précisément à Perpignan et tutoie Lille et Arras entre lesquelles il fait son chemin.
Pour affiner et visualier une partie centrale les méridiens à 3° d'arc sités à 1°20E et 4°20E de part et d'autre de l'axe central achèvent de confirmer que Avignon est au Sud-Est; Lyon,Saint-Etienne et Dijon à l'Est et Châlons en Champagne au Nord-Est.
Toulouse, Montauban et Cahors peinent à accéder au Sud-Ouest avec Bordeaux ou Pau et restent au Midi avec Carcassone et Montpellier.
La délimitation Nord Sud repose sur les deux pointes de l'hexagone, respectivement 51°N à Dunkerque et 42°20N dans les montagnes Pyrénnéennes pres de Cerbère, soit une médiane coupant la France en deux moitiés Nord et Sud à 46°40N qui va le Lons le Saunier à l'Est à La Roche sur Yon à l'Ouest.
Et considérant une zone centrale médiane, deux parallèles issus des mesures précédentes délimitent le tiers Nord au delà de 48°06N , qui coupe la Bretagne Nord et Sud sur un axe Douarnenez - Rennes et passe tout près de Chartres et Troyes qu'il laisse au Nord pour traverser Colmar.
Le tiers Sud lui dépasse un axe Périgueux - Tulle - Grenoble. Cela achève de former un vaste Centre autour de Bourges, Moulins et Nevers autour de qui gravitent Orléans, Auxerre et Clermont-Ferrand. Etonnament ni la région Centre ni le massif Central ne coincident vraiment avec cete réalité géographique.
Un peu plus à l'Ouest, il y a Nantes et tout le Val de Loire avec Angers et Tours, et plus au Sud Limoges, Angoulème et La Rochelle définissent l'occident Français.
Bordeaux, Angers ou Caen forment un alignement imparfait a l'Ouest respectivement au Sud au centre ou au Nord-Ouest.
Enfin si Caen est dans le Nord-Ouest du pays et Metz dans le Nord-Est, force est de constater que Paris trône bien au Nord du pays, inutile d'aller fustiger des Nordistes à Lille, certes 200km plus au Nord, mais Perpignan à 700km au Sud situe bien la capitale au Nord de la France, légèrement plus que Strasbourg à l'Est ou Saint Malo à l'Ouest.